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lundi 14 octobre 2019
lundi 7 juillet 2014
mercredi 6 mars 2013
Manifestation contre l'ANI : réussite de la manifestation malgré la pluie.
Pour voir les photos : voir l'article sur le site de la fédération.
Manifestation départementale contre l'accord... par PCF34
Manifestation départementale contre l'accord... par PCF34
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lundi 4 mars 2013
Au nom de la démocratie sociale 100 députés socialistes, dont deux députés de l'Hérault, veulent tuer la démocratie sociale et le code du travail...
C'est le paradoxe de leur position (tribune publiée dans le JDD)... Cette accord est dangereux tant sur le plan juridique (voir les deux articles reprenant les communiqués de presse du syndicat de la Magistrature et du syndicat des avocats de France) que social. Mais le pire, c'est que c'est un accord signé à la hâte car une nouvelle loi devant entrer en vigueur prochainement fera qu'un accord sera valable que si il est signé par des organisations représentant une majorité de salariés... Ce qui est loin d'être le cas de cet accord...
L'accord signé par des syndicats minoritaires casse une grande partie du code du travail. Le parlement n'est donc pas tenu, bien au contraire, de ratifier cet accord tel qu'il est. Alors que ce gouvernement prétend lutter contre le chômage, en faciliter les modalités ne peut qu’accélérer la montée de celui-ci. Il est donc urgent de se mobiliser pour que le parlement vote une loi d'une tout autre orientation : garantissant les droits des salariés avec les premiers jalons d'une sécurisation de l'emploi et de la formation.
L'expérience le montre, y compris dans ce qui sert de prétendus modèles : la mise en place de la « flexisécurité » dans ces pays s'est traduit par une hausse du taux de chômage de : 3 à 7,8 % au Danemark, 7,9 % en Finlande, 8,1 % en Suède soit une augmentation moyenne de 3 à 8 % Il ne s'agit pas d'un accort « donnant donnant ». Selon la recette du pâté d’alouette : une alouette pour les salariés, un cheval pour le patronat,
c'est le Medef qui sort grand gagnant. Il s'agit d'un Accord National Interprofessionnel dont la principale caractéristique est de rendre beaucoup plus faciles les licenciements et plus difficiles les recours des salariés et de leurs syndicats face aux licenciements. Mais s’y ajoute une dizaine d’attaques théoriques (contre la procédure, contre le contrat individuel), dangereuses ( le CDI intermittent, contre les prud’hommes, la mobilité interne..) ou mesquines (blocage des dommages et intérêts aux prud’hommes, prescription des heurs supplémentaires après 3 ans..) Tout ce qu’il y a dans l’accord va contre les salariés et pour les employeurs.
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vendredi 23 novembre 2012
L'appel des professionnels de la justice aux parlementaires sur le budget 2013
Le secteur de la justice a été défini par le gouvernement comme «prioritaire» et de fait ce budget est en progression de 4,3%, comportant des créations d’emplois, contrairement à la plupart des autres ministères.
Compte tenu de l’état catastrophique du service public de la justice à la suite du précédent quinquennat (réduction des effectifs par la refonte désastreuse de la carte judiciaire, absence de crédits de fonctionnement, engloutissement des moyens dans la machine pénale et l’inflation carcérale) cette priorité ne fait que masquer la misère.
Certes les projets de construction pharaoniques de 25 000 places de prison sont abandonnés et la place de la protection judiciaire de la jeunesse est (un peu) restaurée : mais les quelques emplois créés ne suffiront pas à rétablir un service public dévasté.
Compte tenu de l’état catastrophique du service public de la justice à la suite du précédent quinquennat (réduction des effectifs par la refonte désastreuse de la carte judiciaire, absence de crédits de fonctionnement, engloutissement des moyens dans la machine pénale et l’inflation carcérale) cette priorité ne fait que masquer la misère.
Certes les projets de construction pharaoniques de 25 000 places de prison sont abandonnés et la place de la protection judiciaire de la jeunesse est (un peu) restaurée : mais les quelques emplois créés ne suffiront pas à rétablir un service public dévasté.
Par ailleurs, la taxe de 35 euros est maintenue pour cette année…
Nous, fonctionnaires du ministère de la justice, surveillants et directeurs de prison, conseillers d’insertion et de probation, greffiers, éducateurs de la protection judiciaire de la jeunesse, magistrats et avocats, rappelons l’état catastrophique du service public de la justice que nous dénonçons depuis des années ; nous demandons que la priorité reconnue aujourd’hui se traduise par un renforcement des effectifs et une prise en compte des besoins réels en frais de fonctionnement ; nous appelons le gouvernement et le parlement à faire des choix cohérents au regard de l’insuffisance du budget alloué, par exemple en cessant de vouloir donner une réponse pénale à toute infraction et en revenant à l’individualisation des peines.
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jeudi 26 janvier 2012
Une semaine chargée à Montpellier...
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